Il s'en passe de sévères à l'institut de thalassothérapie de Riquebon-sur-Mer. On est obligé de planquer les cadavres dans les tiroirs car les croque-morts arriveraient pas à tous les croquer ! Ça tombe à qui mieux mieux : les vieillards en premier, ce qui est justice, mais aussi les femmes, y compris les très jolies, ce qui est dégueulasse ! Dans ce très gros book, l'Antonio se surpasse, tu verras. Jamais il s'est montré si farfadingue ni si tringleur ! On lime à toutes les pages, à toute heure et en tous lieux ! Pour couronner le chef-d'œuvre, t'as droit au premier chapitre des mémoires du Gros, écrits de sa main et intitulés : Pas triste ! J'aime autant te parler franchement : si tu rates ce livre, tu rates ta vie !

Les Rougon-Macquart: histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. XI (1883) Denise arrive à Paris avec ses deux frères, Jean et Pépé. Un grand magasin Au bonheur des dames s'installe en face de la boutique de leur oncle. L'état empirant des affaires de l'oncle contraint Denise à travailler au bonheur des dames. Ses collègues de travail et les clientes ne sont pas tendres envers la pauvre provinciale… Un compte rendu fascinant du phénomène des grands magasins et des terribles conditions de travail de l'époque…

Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël. Côté cœur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire). Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné. Pourquoi moi ? Je dois avoir un don…

L'orthographe, ses règles obscures et ses exceptions vous font souffrir ? Rassurez-vous, c'est voulu ! Comment pourrait-il en être autrement dans un pays à l'histoire si tumultueuse ? Comme la France, notre orthographe a traversé les siècles en empruntant des voies détournées, sans craindre détours et autres pirouettes. Il fallait un Belge comme Bernard Fripiat pour raconter cette histoire avec un humour et une irrévérence qui déculpabiliseront les pires cancres. En une centaine de pourquoi, il explique l'origine de chaque difficulté et raconte la folle épopée d'une orthographe que le monde entier nous envie… Historien passionné par la langue française, Bernard Fripiat anime depuis vingt ans des stages d orthographe en entreprise. Auteur dramatique, il est également comédien et chroniqueur radio. En 2013 il a publié L'Orthographe : 99 trucs pour en rire et la retenir (éd. Gunten)

Une société secrète d’encagoulés complote pour renverser le seigneur Vétérini, Patricien d’Ankh-Morpork, et lui substituer un roi. C’est sans compter avec le guet municipal et son équipe de fins limiers. Une affaire à la mesure du capitaine Vimaire — s’il boit, c’est pour oublier les laideurs de la vie — et de ses brillants adjoints. (« Tous pour un ! ») Et lorsqu’on retrouve au petit jour dans les rues les corps de citoyens transformés en biscuits calcinés, l’enquête s’oriente résolument vers un dragon de vingt-cinq mètres qui crache le feu ; on aurait quelques questions à lui poser. Mais peut-être la collaboration du bibliothécaire de l’Université ne sera-t-elle pas inutile : n’arbore-t-il pas aussi une plaque de la DST (Défense simienne du territoire) ?

Au nom du fils est roman d'un père obligé d'élever un enfant dont il n'est pas sûr qu'il soit de lui. Il fait d’abord son devoir, se pique au jeu, s’intéresse à son fils, éprouve bientôt une tendresse dévorante et se consacre totalement à lui, non sans hargne, sans jalousie, sans difficultés de toutes sortes. C’est un vrai pélican. Mais ce n’est pas un saint : il emploie constamment des moyens « impurs » et, tout en se sacrifiant, il sacrifie allègrement une femme qu’il aimait, ses autres enfants, sans compter ses intérêts, sa fin de vie, son bonheur même. On remarquera que ce thème de la paternité n’a été que rarement traité dans le roman français (Balzac, bien sûr… Encore que Le père Goriot soit surtout l’histoire d’un vieillard dépouillé par ses filles.) Que cette lacune soit comblée par le romancier de Vipère au poing, c’est-à-dire de la haine filiale, cela peut étonner mais cela est logique : Hervé Bazin est le romancier des difficultés de la famille, toute son œuvre en témoigne. Disons que le temps a fait aussi son œuvre, et que, si l’auteur n’est point ici acteur comme naguère, il a connu depuis, auprès de ses propres enfants, les sentiments qui font de ce livre le chant d’amour d’un père. Ceci dit (pour reprendre une citation d’Emile Henriot) « il écrit toujours de la même encre empoisonnée, de la même plume furieuse, n'ayant pas encore désarmé et cependant c'est un homme en train de se transformer que nous retrouvons… »

La pratique professionnelle du piano suppose une discipline stricte. Elle exclut tout divertissement susceptible d'éloigner l'artiste de son clavier. Pourtant il aimerait, lui aussi, jouir de la lumière du monde, de la douceur de vivre, de la tiédeur de l'air et de l'amour des femmes. Eh bien non! Mort ou vif, le pianiste se doit d'abord à son public. Dans les allées du parc Monceau à Paris, Max a peur. «Max va mourir violemment dans vingt-deux jours mais, comme il l’ignore, ce n’est pas de cela qu’il a peur». Il a peur de son piano, peur de lui-même, surtout. Mais n’a-t-il pas raison puisqu’un soir, après un concert de gala, il est agressé et meurt au coin d’une rue? Fin de la première partie. On range le piano. On arrête l’alcool. On bascule, dans une clinique bizarre, le Centre, une version moderne du purgatoire qui recycle «des personnalités pour faire partie du personnel». Max fera partie du personnel, aux côtés de Dean Martin et de Doris Day. Il attend son verdict, le Parc (paradis) ou la Section urbaine (enfer). On tranche pour la Section urbaine et Max revient sur terre, avec l'interdiction formelle de retrouver quiconque a fait partie de son passé. Troisième volet, il y aura l’Amérique du Sud. Mais Max cherche désespérément sa Rose, une femme à qui il n'a jamais avoué son amour et qu'il a perdu de vue depuis ses années d'étude. Jouant avec l'éternité et le salut, Jean Echenoz nous prend à témoin, nous précisant avec humour que c’est une fiction qu'il invente pour nous. Je vous laisse le plaisir de découvrir le dénouement fantastique de cette parodie loufoque jusqu’à l’absurde, où il est question de partir vers l’obscur objet de son désir. C'est en tout cas un magnifique roman sur la peur de vivre. Jean Echenoz a reçu en 2006 le Grand Prix de littérature Paul Morand pour l'ensemble de son oeuvre

Que c'est le meilleur petit-gars du pays et que sa maman, qui n'a que lui, est capable d'en mourir. J'ai la certitude, comme tout le monde ici, qu'il est innocent. Mais les marins à qui j'en ai parlé prétendent qu'il sera condamné parce que les tribunaux civils n'ont jamais rien compris aux choses de la mer... " Fais tout ce que tu pourras, comme si c'était pour toi-même... J'ai appris par les journaux que tu es devenu une haute personnalité de la Police judiciaire... " C'était un matin de juin ; Mme Maigret, dans l'appartement du boulevard Richard-Lenoir, dont toutes les fenêtres étaient ouvertes, achevait de bourrer de grandes malles d'osier, et Maigret, sans faux col, lisait à mi-voix. " De qui est-ce ? - Jorissen... Nous avons été à l'école ensemble... Il est devenu instituteur à Quimper... Dis donc, tu tiens beaucoup à ce que nous passions nos huit jours de vacances en Alsace ?.... [http://www.amazon.fr/Au-rendez-vous-Terres-Neuvas-Georges-Simenon/dp/2253142980](http://www.amazon.fr/Au-rendez-vous-Terres-Neuvas-Georges-Simenon/dp/2253142980)

« Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d’avantages, même après. » Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu’amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts… Fresque d’une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d'évocation, Au revoir là-haut est le grand roman de l’après-guerre de 14, de l’illusion de l’armistice, de l’État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants, de l’abomination érigée en vertu. Dans l’atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants

Au soleil — est un récit de voyage écrit par Guy de Maupassant en 1884

Comme j'ouvre la porte, je fais un bond en arrière qui m'envoie dinguer dans le porte-pébroques. Il y a trois messieurs sur le paillasson, qui s'apprêtaient à sonner. Et ceux-là, pas d'erreur possible, ce sont des vrais de vrais. Ils ont des bouilles qui ne trompent pas. Ils seraient nègres ou nains que ça ne se verrait pas davantage. Le gnard San-Antonio se demande à la brutale si, par hasard, ça ne serait pas le commencement de la fin

Andreï Makine ouvre son roman sur une scène rêvée de notre Occident. Un fantasme qui nous fera mesurer l'étendue de notre dépaysement. Les personnages appartiennent à un autre monde: le pays du grand blanc, au bord du fleuve Amour. Dans ces lieux de silence, la vie pourrait se confondre avec de simples battements de coeur si chaque mouvement de l'âme n'apportait sa révélation. Alors, le désir naît, de la sensualité des corps comme de la communion avec la nature offerte. L'amour a l'odeur des neiges vierges dans la profondeur de la taïga. Soudain, tout est bouleversé. L'Occident fait signe. D'abord un train qui passe, le mythique Transsibérien. Puis un film français, vision d'une existence éblouissante, appel peuplé de grandes actions et de créatures sublimes. Le vertige d'une autre histoire née sur les rives du fleuve Amour, aux berges de l'adolescence

Voici donc un roman de Science-Fiction où l’un des maîtres du genre nous emmène dans le futur de l’humanité, en déployant des trésors d’imagination, tout au long d’une intrigue comportant un réel intérêt humain

Dans la Galaxie, l’étoile MarcheArrêt représente une énigme : elle observe un cycle de deux cent cinquante ans, s’éteint pendant deux cent quinze puis se rallume pour trente-cinq ans. Son unique planète est habitée par des araignées intelligentes qui viennent d’inventer la radio. Le système de MarcheArrêt n’a jamais été exploré. Et voilà que deux expéditions, attirées par les signaux radio, s’y installent. L’une a été montée par les Qeng Ho, un peuple marchand qui parcourt l’espace en achetant et vendant des informations technologiques. L’autre par une civilisation violente et sadique, dite des Émergents, qui a fait de la lutte pour le pouvoir son mode de vie. Son chef, Tomas Nau, cherche à se rendre maître de la planète des Araignées pour exploiter ses ressources. Il lui faut d’abord détruire la flotte Qeng Ho ou s’en emparer. Mais parmi les Qeng Ho se cache une figure mythique, Pham Nuwen, né mille ans plus tôt, qui connaît tous les tours... Au tréfonds du ciel a reçu, en l’an 2000, le prix Hugo, tout comme le roman précédent de cet auteur, Un feu sur l’abîme, publié dans la même collection, l’avait obtenu en 1993. Vernor Vinge décrit avec sa verve habituelle trois civilisations entièrement différentes sur fond galactique

When Elliot Hoover loses his wife and daughter, Audrey Rose, in a fiery car crash, his world explodes. To heal his mental anguish and claim some peace, he visits a psychic who reveals to him that his daughter has been reincarnated into Ivy Templeton, a young girl living in New York City. Desperate to reclaim anything from his daughter’s past, he searches out Ivy, only to discover that the unbelievable is shockingly true — his daughter is back. Now, in an effort to save her life, Hoover must choose between two horrifying possibilities — leaving his daughter’s soul in torment, or taking the life of the young girl in whom she now lives

"Andrés Barba needs no introduction. He has his own intentional world perfectly contained and a literary gift that belies his age." — Mario Vargas Llosa "A story that has been described as an explosive clash between Pavese's The Beautiful Summer and the adolescents of Gus van Sant's Elephant." — Daniel Entrialgo, Esquire "A new Spanish great, that’s all I need to say." — Lire Fourteen-year-old Tomás goes with his well-off family on their usual seaside summer holiday, but he is at a stage in his life when nothing is the same. Sullenly detached from them, full of confused intimations of sexuality, he is also faced with death when his widowed aunt, who lives in the resort, is taken seriously ill. As he becomes close to her on her deathbed he frequents the forbidden in the form of some lower-class village kids — casually transgressive boys and even more alien, sexually knowing girls — that will get him involved on the last day in a gang rape of a vulnerable girl. Though when it is his turn, Tomás only pretends to do it — enough to save face with the boys. Back in Madrid, he wrestles with guilt and confusion. He finally decides to go back secretly, alone, to find the girl and apologize for what happened, but despite the moving scene of atonement and forgiveness, ambiguity lurks even in this redemption. Andrés Barba is a multi-awarded Spanish novelist, essayist, translator, scriptwriter and photographer. He is the author of a total of thirteen books of literary fiction, non-fiction, photography, arts, and children's literature. Lisa Dillman translates from SPanish and Catalan and teaches at Emory University in Atlanta

VILHELMS HAUFS AUKSTĀ SIRDS UN CITAS PASAKAS LATVIJAS VALSTS IZDEVNIECĪBA RĪGA 1958 Wilhelm Hauff DAS KALTE HERZ und andere Marchen Der Kinderbuchverlag Berlin 1956 Tulkojis RŪDOLFS EGLE T. SLEGELES ilustrācijās K. FRIDRICHSONA apvāka un vāka zīmējums Šai izdevumā iespiestas reālistiskās Vilhelma Haufa pasakas, gan nesaglabājot pirmos divus autora izveidotos noslēgtos ciklus, no ku­riem ir paturētas tikai labākās pasakas, tomēr atstājot visam kopumam zīmīgo ievadu par pasaku valdnieci Fantaziju un tās vecāko meitu Pasaciņu, kas labi raksturo gan Haufa uzskatus par pasaku lomu cilvēku dzīvē, gan arī viņa romantiski izteikto stāstījuma veidu. Grāmata saga­tavota pēc Vācijas Demokrātiskajā Republikā izdotās (Berlinē, 1956. g.) Haufa pasaku izlases, paturot arī šā izdevuma nosaukumu

Emma Porter is forty, fat, frumpy, and a passionate amateur gardener. When her longtime lover dumps her for a younger woman, Emma escapes the cloying sympathy of family and friends by setting out on a summer-long driving tour of England's glorious gardens. A Dimity-contrived coincidence brings her to Penford Hall, a sprawling Gothic mansion in Cornwall, where she finds a duke in search of a missing lantern with extraordinary powers. Suspecting there's more than one mystery to be solved at Penford Hall, Emma accepts the duke's invitation to stay on and restore the once glorious chapel garden to its former beauty. The dark rumors surrounding a rock star and the near-death of the duke's beautiful cousin confirm Emma's suspicions, and set her--with Aunt Dimity's ghostly guidance--on the path to Penford Hall's secrets and the pleasure of unexpected love

The latest in this enchanting and fast-selling series, featuring the beloved ghost Aunt Dimity, opens in a picturesque English cottage where the lovable Lori Shepherd is up to her elbows in pureed carrots and formula bottles, striving to be the perfect mother to twins! Luckily, a beautiful Italian nanny arrives just in time?so Lori can help settle the local civil war stirred up by a visiting archaeologist's excavation. With Reginald, the stuffed pink rabbit and Edmond Terrance, the stuffed tiger in tow, Lori hunts down a missing document, and the archaeologist digs up a lot more than artifacts. It is Aunt Dimity's magic blue notebook that provides the key to buried secrets and domestic malice, and shows all the residents of Finch that even the darkest acts can be overcome by forgiveness. From Publishers Weekly Aunt Dimity, the ghost with the flowing handwriting, returns for a fourth outing with her living partner, Lori Shepherd, in this fluffy village cozy. Now living in England, Lori and her lawyer husband, Bill Willis, have welcomed twin boys, swelling the mostly retired population of Finch. Living in the cottage left to Lori by her mother's close friend, Dimity Westwood, Lori is thankful for the arrival of the local and unmarried Francesca Sciaparelli to aid with the double joys of motherhood. In this corpseless tale, the mystery concerns a document stolen from the vicarage. Finch has become divided over the apparent Roman treasure trove discovered by archeologist Adrian Culver in a village field. An obscure 19th-century document, proving the find is a hoax, is the stolen item. Asked to resolve the dilemma, Lori, a rare book expert, is aided by Aunt Dimity who communicates with her ghostly handwriting in a special blue journal. Atherton produces a diverse cast of villagers, especially the formidable Peggy Kitchen, a veritable locomotive who is determined to chuck Culver and his archeological miscellany out of the schoolhouse before her well-planned Harvest Festival. Featuring Lori's cherubic twins, a number of stuffed animals and the triumph of true love, Atherton delivers pure cozy entertainment. 

Lori Shepherd can hardly wait to celebrate Christmas this year with her husband, Bill and twin sons in the beautiful cottage willed to her by Aunt Dimity. Then Lori makes a disturbing discovery beneath the cottage's snow-covered lilac bushes--the body of a mysterious stranger, barely alive. Lori must put her plans on hold to team up with Julian Bright--a devilishly attractive Roman Catholic priest--to seek out the tramp's identity. Their adventure takes Lori and Julian from abandoned World War II airfields to homeless shelters--places where the Christmas star shines dimly, if at all. Finally, Lori unveils the tragic secret that led the stranger to her door, and must confront painful truths about herself and the true meaning of a perfect family Christmas. From Publishers Weekly Having inherited an English cottage from her mother's good friend, Dimity, American Lori Atherton (last seen in Aunt Dimity Digs In) is now settled into the village of Finch with her husband, Bill, their twin sons and her father-in-law. Shortly before Christmas, Lori's idyllic holiday plans are shattered when a derelict collapses in their snowy driveway. While the nameless man lies comatose in a local hospital, the late Dimity, who communicates from the other side by writing in a special journal, encourages Lori to pursue the man's identity. Bill is suddenly called to Boston for a funeral, so Lori teams up with the kindly Father Julian, a Catholic priest who runs a local homeless shelter, and who knows the man but not his real name or background. The mystery unwinds as Lori and Father Julian trace the trail of the charismatic stranger, who seems to have touched so many people in a positive way. As the duo discover the nameless man's fascination for WWII airfields, and uncover his family history, they and the other villagers experience a Christmas like no other. Though Atherton's novel requires a hefty suspension of disbelief, her charming characters and heartwarming narrative will make believers out of most readers. In this most unusual mystery, Atherton offers a glimpse of the finer side of human nature. 

Until the Dickensian law firm of Willis & Willis summons her to a reading of the woman's will. Down-on-her-luck Lori learns she's about to inherit a siazable estate--if she can discover the secret hidden in a treasure trove of letters in Dimity's English country cottage. What begins as a fairy tale becomes a mystery--and a ghost story--in an improbably cozy setting, as Aunt Dimity's indominable spirit leads Lori on an otherworldly quest to discover how, in this life, true love can conquer all. From Publishers Weekly Despite its buoyant tone, this blend of fairy tale, ghost story, romance and mystery proves a disappointment. First novelist Atherton creates a potentially appealing heroine in bewitched and bewildered Lori Shepherd, but never places her in danger, thus sacrificing suspense. Recently divorced and newly bereaved by her beloved mother's death, Lori is scraping by as an office temp in Boston when she receives a letter from a Boston law firm informing her of the death in England of Miss Dimity Westwood. Lori is shocked because she had thought adventurous Dimity was her mother's fictional creation, the star of made-up bedtime stories. Courtly lawyer William Willis and his attentive son Bill inform Lori that Dimity left instructions that she and Bill go to her Cotswolds cottage to prepare a collection of "Aunt Dimity" stories for publication. They find the cottage haunted by the ghost of Dimity, who blocks their efforts to trace the secret of her WW II romance with a gallant flier. That all ends happily comes as a surprise to none but Lori. 

Nancy Atherton's growing number of fans will certainly be delighted by Aunt Dimity's latest appearance in the honey-colored English cottage she bequeathed to her "niece," Lori Shepherd. Thanks to Aunt Dimity, Lori's life has taken on fairy-tale proportions: she's financially set for life and happily married--or so she thinks. When Lori's plans for a second honeymoon to England with her workaholic husband fall through, she begrudgingly takes along her father-in-law--who promptly disappears, leaving behind a mysterious note. Inspired and guided by the ghost of Aunt Dimity and her inimitable blue journal, Lori's search for the elderly gentleman turns into a harrowing mission to uncover a centuries-old family secret--complicated by mistaken identities, falsified deeds, family feuds, and Lori's unseemly attraction to her husband's beguiling English cousin. In a delightful chase that takes her all over the English countryside, Lori discovers the true meaning of marital bliss, and Nancy Atherton's fans, new and old, will savor a masterpiece of old-fashioned fun. From Publishers Weekly If you're looking for arch, cancel the trip to Chartres. Here's the third in a pointedly cute series featuring the ghost of "Aunt" Dimity, the dead friend of heroine Lori Shepherd's mother. Lori plans a second honeymoon for herself and her overworked husband, lawyer Bill Willis, in the idyllic English cottage Lori inherited from Dimity (Aunt Dimity's Death, 1992). When a case keeps Bill in Boston, Lori heads overseas with her father-in-law, William Willis Sr. He suddenly disappears, taking Lori's pink flannel bunny, Reginald, and leaving an enigmatic note about family business. Further clues come from Dimity's ghost via her leather-bound journal, in which Lori observes Dimity's handwriting materialize on the page. Lori tracks Willis Sr., accompanied by her friend Emma's precocious 12-year-old stepdaughter, Nell, and Nell's teddy bear, Bertie, through the picturesque countryside to London. There she finds the British Willises?including sexy Gerald, efficient Lucy and bumbling Arthur?who are at odds, their family law firm in disarray. The plot hangs on an 18th-century feud that divided the family, resulting in murder and theft, and leading to present-day blackmail; the villain is easily identified. At the end of this amusing but silly tale, Bill and pregnant Lori move to England, delighting Aunt Dimity's ghost

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La acción narrada en Aura (1962), la novela de Carlos Fuentes a que me deseo referir (5), constituye aparentemente un proceso de reencuentro con la historia. El protagonista, Felipe Montero, un historiador de 27 años, se desplaza desde un espacio exterior y periférico, en el que prevalecen las apariencias superficiales y las máscaras -el de la moderna Ciudad de México, cotidiana, alienante- hacia otro espacio interior y central, en el que supuestamente descubre una realidad esencial- la Ciudad de México colonial, histórica, representada por la calle Donceles, en la que se encuentra la casa de la anciana Consuelo, con el número 815.(6) Sin embargo, si se lee la novela atendiendo a su elaboración simbólica, el mencionado reencuentro se traduce en una efectiva regresión en la que el pasado, del que es portadora la anciana Consuelo, se apodera del presente, representado por el joven historiador. Ni las hechicerías de aquélla ni la juventud de Felipe, son suficientes para revitalizar a una situación de encierro estéril, en la que el pasado, convocado por el presente, termina por apoderarse de éste último hasta identificarse con él. La imagen de la bruja metaforiza en Aura las contradicciones de la memoria histórica latinoamericana, especialmente el anquilosamiento que le produce su incapacidad de introspección. La historia que se relata en Aura, aunque vincula los poderes de la bruja con el conocimiento de la naturaleza y la búsqueda del amor eterno, conduce a los protagonistas a un estado de encierro, asfixia y esterilidad. La historia que conduce a esta situación es de amor: en ella dos amantes se vuelven a unir, superando las barreras del tiempo y de la muerte. Se la ha interpretado como la narración de una aventura interior, que puede ocurrir tanto en la imaginación de Felipe como en la de Consuelo. Quien propone que la historia no es otra cosa que un sueño de Consuelo, interpreta a este personaje como a una anciana demente a causa de su propia esterilidad y temor a la senectud, que en su delirio recuperaría a su amado por medio de la imaginación. Las dos interpretaciones se fundamentan en marcas textuales muy precisas que permiten atribuir el relato a uno u otro de los dos personajes. El epígrafe, tomado de La sorciére de Michelet, es uno de los elementos que inducen a afirmar que la historia narrada es producto de la imaginación de la anciana Consuelo: El hombre caza y lucha. La mujer intriga y sueña, es la madre de la fantasía, de los dioses. Posee la segunda visión, las alas que le permiten volar hacia el infinito del deseo y de la imaginación… Los dioses son como los hombres: nacen y mueren sobre el pecho de una mujer…

In ages past, there had been four magical weapons, fashioned to be used only by the Magefolk. But their history had been lost, together with the Artefacts themselves, in the Cataclysm which had wrought changes on land and water alike. Lost also had been the history of the Magefolk, and the Winged Ones, the Leviathans and Phaerie. Aurian, the child of renegade Mages, finds herself sent to the city of Nexis to join the Academy and then train as a full Mage. Little does she suspect that she will quickly become entwined with a power struggle between Miathan, the Archmage, and the human inhabitants of Nexis. The only person to whom she can turn in Forral, Commander of the city’s military garrison and friend of her dead father. But this friendship infuriates Miathan, and leads to a deadly conflagration, in which the first Artefact is revealed. Aurian’s flight, with her servant Anvar, turns into both odyssey and rite-of-passage as she travels to the little-known Southern Kingdoms and begins to rediscover the history of the weapons which are the only hope against Miathan and Armageddon—The Artefacts of Power!

A major new novel from one of science fiction’s most powerful voices, AURORA tells the incredible story of our first voyage beyond the solar system. Brilliantly imagined and beautifully told, it is the work of a writer at the height of his powers. Our voyage from Earth began generations ago. Now, we approach our new home. AURORA

Aurora boreal fue galardonada con el Premio a la Mejor Primera Novela Negra por la Asociación Sueca de Escritores de Novela Negra, y Det blod spillts, la segunda entrega de la serie, con el Premio a la Mejor Novela Negra Sueca. El cuerpo de Victor Strandgard, el predicador más famoso de Suecia, yace mutilado en una remota iglesia en Kiruna, una ciudad del norte sumergida en la eterna noche polar. La herman de la víctima ha encontrado el cadáver, y la sospecha se cierne sobre ella. Desesperada, pide ayuda a su amiga de infancia, la abogada Rebecka Martinsson, que actualmente vive en Estocolmo y que regresa a su ciudad natal dispuesta a averiguar quién es el verdadero culpable. Durante la investigación sólo cuenta con la complicidad de Anna-Maria Mella, una inteligente y peculiar policía embarazada. En Kiruna mucha gente parece tener algo que ocultar, y la nieve no tardará en teñirse de sangre

Dans la nuit du 1er au 2 juillet, le comte Philippe-Christophe de Koenigsmark quitte sa maison de Hanovre sans laisser de traces… Prévenue par un étrange et trop court billet signé du secrétaire de Philippe, sa jeune Sœur Aurore, qui réside alors au château familial non loin de Hambourg, redoute le pire. Mais elle refuse l'idée d'une issue fatale. Elle n'ignore rien, cependant, pour en avoir été la confidente, de la liaison passionnée qui unit son frère à la princesse Sophie-Dorothée, mal mariée à l'héritier de Hanovre, qui deviendra Georges Ier d'Angleterre. Ce frère tant aimé, Aurore va tout tenter pour le retrouver, jusqu'à mettre sa propre vie en péril. Mais à mesure qu'elle avance dans son enquête, le mystère semble s'approfondir. Elle en appellera à tous les princes allemands, et à une partie de l'Europe. Un seul fera un geste : l'Electeur de Saxe, Frédéric-Auguste. Il était l'ami de Philippe et avec lui Aurore va vivre une folle passion qui laissera une marque profonde dans l'histoire. Des mornes plaines du nord de l'Allemagne à la Saxe opulente, des sinistres marais d'Ahlden, où s'étiole une princesse captive, aux montagnes du Harz, Aurore de Koenigsmark tentera de mener de front sa quête obstinée et son trop grand amour. C'est à l'heure de la plus grande détresse qu'enfin elle apprendra la cruelle vérité… Aurore est le premier volet d'une nouvelle série autour de la célèbre famille Koenigsmark. Une fois encore Juliette Benzoni réussit le savant mélange dune solide documentation historique, d'intrigues, de péripéties, de suspense, pour le plus grand plaisir de la lecture

Bei Kriegsende 1945 verschlägt es die Kurowskis nach der Flucht aus Ostpreußen in den» westlichen Teil<. Man hat alles zurücklassen müssen: die Heimat, den gesamten Besitz, die Familie mußte sich eine neue Existenz schaffen, die Schuhwerkstatt hatte zu Hause die Familie gut ernährt. Vater Kurowski ist noch vermißt, die Mutter hat drei Kinder zu versorgen. Man hält zusammen: der Schwager Paskuleit, der Großvater, der Geselle Busko und auch der Pfarrer des Heimatdorfes sind mit von der Partie. So ist da, in der neuen Welt, noch eine kleine Gemeinschaft von Freunden, auf die man sich verlassen kann. Menschen, mit denen man ein gemeinsames Schicksal hat.»Organisieren hieß die Devise damals. Man organisierte das Notwendigste. Das hält fürs erste die Familie über Wasser. Schließlich, ein paar Jahre später, floriert die neue Werkstatt und das Schuhgeschäft. Endlich kommt der Vater aus russischer Gefangenschaft zurück und packt mit an. Politische Schwierigkeiten stellen sich in den Weg und sind mit List und Schläue zu meistern. Busko zieht sogar in den Bundestag ein. Die Kurowskis klettern die Erfolgsleiter empor, bringen es mit Ausdauer und Fleiß zu Haus und Geschäft und schließlich wächst das Familienunternehmen zu einem Schuhkonzern. Fast könnte man sagen, Kurowskis sind des Wirtschaftswunders liebste Kinder. Der Reichtum zeigt freilich auch seine Kehrseite: am Ende erfüllen nicht alle Kinder die hochfliegenden Pläne ihrer Eltern

Blutsbande können sich manchmal als Fesseln erweisen. Der erfolgreiche Hindernisreiter Kit Fielding kann davon ein Lied singen. Dennoch springt er seiner Zwillingsschwester bei, als deren Mann, ein geschätzter Pferdetrainer, von der Regenbogenpresse in die Mangel genommen wird. Dem Schwager droht der Bankrott, wenn die Schreiberlinge mit ihrer Intrigenkampagne weitermachen. Doch als Fielding gegen die Schmierenjournalisten und deren Hintermänner vorgehen will, gerät er selbst in Gefahr

Erich von Däniken Aussaat und Kosmos Spuren und Pläne außerirdischer Intelligenzen Mit 61 Schwarzweiß-Abbildungen und 11 Farbbildern

Dick Francis "Außenseiter",originaltitel "Longshot". John Kendall, Verfasser von Ratgebern fürs Überlebenstraining in Dschungel und Wüste, nimmt das Angebot an, die Biographie eines berühmten Pferdetrainers zu schreiben. Als er seine Recherchen auf dem Trainingshof im ländlichen Berkshire aufnimmt, muß er erfahren, daß die düsteren Vorfälle im lieblichen, ländlichen England den Gefahren des Dschungels in nichts nachstehen

It's bad enough that gutsy pilot Mel Anderson has to clean up after her lovable but completely disorganized best friend and business partner, Dimi, while her certifiable employees make more work than they do. Now, the one man she hoped she'd never see is back and looking for trouble. Scratch that, he is trouble. Amazing, holy cow, more please trouble…Bo Black wants his family's airport back, and he's determined to get it. This laid-back Aussie is nobody's fool. Thing is, neither is Mel. She's intense. Uptight. Sexy. And very, very tempting. Suddenly, Bo's thinking less about revenge and more about kissing and touching and falling into a fly-by-the-seat-of-your-underpants kind of forever love…

While browsing in an Austin shop, Nicola James finds a blank vintage journal hidden among a set of Jane Austen novels. Even though Nic is a straight-laced engineer, she's still a sucker for anything Austen-esque. But her enthusiasm turns to disbelief once she starts writing in the journal - because somehow, it's writing her back...Itching for a bit of excitement, Nic decides to follow her "Fairy Jane's" advice. The result: a red-hot romance with a sexy Scottish musician who charms his way into Nic's heart in about five seconds flat. But a guy like Sean doesn't exactly fit into her Life Plan. With no one but Fairy Jane to guide her, Nic must choose between the life she thought she wanted - and the kind of happy ending she never saw coming